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    MES ROSES DE TON COEUR A MON COEUR

     


















     
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    sionie 

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     réel rêve d’un coeur

     

     
    Tu es l’innocence des chansons que j’écoute à chaque instant
    Et le sourire de l’aurore
    Tu es le doux éclat du soir
    L’inconnu de mes mauvaises pensées
    Tu es mon plus beau cadeau venu des étoiles, la lune,
    fr
     
    des éclaires de la pluie
    La douceur des belles chansons qui me bercent chaque soir
    Tu es la maison de mes rêves
    Jamais j’aimerai effacer ton beau visage de mon miroir
    Un jour quand il s’agira que tu t’en ailles
    Les rêves, le vent, la lune, les éclaires de la pluie
    Ne se laisseront pas faire
    Temporairement le chemin te sera ouvert
    Regarde !
    Je ne murmure que pour toi !
    Je t’aime comme en vie libre
    Je t’attendrais peut-être, qui sait !
    Sauf que mes nuits ne seront plus pareil
    Mes rêves non plus
    Comme tous les jours
    Mon coeur ne peut cesser de battre
    Mon amour me parlera de toi !
    Le bonheur d’une vie innocente.
     

     
    obisclaud20




    Sionie

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  • Arbre blanc
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    Image
     
     
    Photographie prise le week-end du 28-29 janvier dans un jardin à l’Union (banlieue de Toulouse)
    alors que la neige avait recouvert une bonne partie de la France.
    Non loin de là, des parents avec leurs enfants en profitaient pour façonner la neige ou pour glisser dessus.
    J’ai cherché à prendre en photo des oiseaux mais à chaque fois ils fuyaient avant que j’appuie sur le bouton,
    comme si je brisais leur bulle de silence. Bref, pour commencer une petite série neigeuse,
    vous pouvez voir ce cadre que j’avais trouvé magnifique.
    A noter que la photo n’a pas été prise / convertie en noir et blanc,
     mais avec le temps qu’il a fait, vous pouvez constater que c’était tout comme.
     
    L’arbre blanc trône
    Dans l’ombre immaculée
    Du jardin givré
     
    La ‘grande’ entrée
      2nrlvgnrduit.gif picture by Bulledevanille   
     
    Image  
     
    Vous voici devant l’entrée du parc qu’il y a sur le côté du centre commercial Saint Caprais.
    C’est un peu comme une bouffée de nature au milieu du béton.
    Mes pas s’y étaient dirigés en premier lorsque j’ai voulu savourer le temps neigeux.
     
    Le rideau d’hiver
    déployé dans notre air
    avive la flamme du printemps
    reposant au fond des cieux rêveurs
    Tomber dans le panneau
     
    Derrière les grilles
    "grouille" tout un univers
    vivant sur et sous l’immaculé,
    tapis couvert des pétales de l’hiver.
    © Pascal Lamachère – Janvier 2006

     
     2nrlvgnrduit.gif picture by Bulledevanille


    Image  
     
    Voici le panneau du "plan", très sommaire, des lieux.
    Vous pouvez constater qu’un centre culturel est installé aux abords du parc/jardin.
    Il y a une bibliothèque, une ludothèque, et dans une sorte de "château"
    un havre de paix où j’entends de temps en temps des musiciens, accordéons et autres instruments, s’exprimer.
    Autre charme du petit parc, à cela s’ajoute un florilège d’arbres de différents pays du monde,
    une petite visite de quelques espèces de différents drus "estampillés" à distance pour notre culture.
    Que du bonheur pour l’évasion et l’inspiration.
     
     
    Désert de neige
     2nrlvgnrduit.gif picture by Bulledevanille  

    Image  
     
    Le silence règnerait-il dans ce coin du parc ?
    Je vous présente le coin où j’avais trouvé de l’inspiration pour quelques nouvelles.
    D’autres sont en état de germe en rapport avec le temps qu’il a fait et ce bout de jardin.
    Après le ressourcement, l’aspiration et la réflexion (wait), la prise de plume (act),
    viendra le temps de la lecture (see), mais… en attendant, bon surf !
     
    Les bancs sont vides,
    Le jardin est couvert de pétales d’hiver,
    Les drus en ont les ramures gelées,
    Règne le désert de neige ?
    © Pascal Lamachère – Janvier 2006
     
     
    Tombent les flocons
    Sur et à travers les branches,
    Couvrent cohorte endormie
    Silence est or blanc,
    Non loin des enfants s’agitent,
    Des oiseaux le rejoignent
    © Pascal Lamachère – Janvier 2006





    Sionie

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    L’Amitiés



     
    disent nos amis(es) mais quand vient le temps de nous aider.
    Peu importe comment ? Peu importe la situation ?
    On se rend compte qu’elles ne sont plus là.
    Ou bien elles se trouvent toutes sortes d’excuses. Je n’en reviens pas.
    Mais une chose que je ne comprendrais jamais.
    Peut-être, est-ce moi qui est mal fait ?
    Bien des gens ne comprennent pas que l’amitié entre  un homme et une femme ça existe.
    Les gens sont méchants, mesquins, ignorants, bornés et surtout, ne sont pas capable de faire la part des choses.
    Pourquoi je dis ça ? Si une amitié entre un homme et une femme se crée, tout de suite les gens pensent mal.
    Autrement dit, ils jugent sans savoir.
    Tout de suite ils pensent à la couchette.
    Et je sais que je n’ai pas besoin de vous expliquer.
    Et cela je trouve ça déplorable.
    Car surtout au jour d’aujourd’hui.
    Avec les guerres, les conflits, les chicanes de toutes sortes, la méchanceté.
    Quoi de plus beau qu’une amitié sincère et loyale.
    Que ce soit entre hommes ou femmes ou hommes et femmes on a besoin d’avoir des amis(es) dans notre vie.
    Cela je ne pourrais jamais accepter ça.
    Car dans la vie, quand les choses sont claires et bien expliquées, il n’y a pas de malentendus.
    J’ai des amis hommes et des amies femmes.
    Mes amis hommes n’ont jamais fait ou dit des choses déplacées ,
    ou essayer de briser quoi que ce soit dans ma vie.
    Ils m’ont toujours respecté pour ce que je suis.
    Leur amie a qui ils peuvent se confier, parler de tout et de rien.
    Les vrais amis (es) que ce soit hommes ou femmes te seront fidèles toute ta vie.
    Si tu as de la peine, de la joie tu peux toujours compter sur eux.
    Ils ne te jugeront jamais peu importe ce que tu fais.
    Et si jamais tu fais des gaffes car personne n’est parfait. Ils sont là pour t’appuyer et non te juger.
    Moi je suis fière de mes amis(es) hommes ou femmes.
    Car pour moi leurs amitiés est un don de soi et elle m’est très précieuse ,
    que rien ni personne ne m’enlèveras les amis(es) que j’ai.
    Mais ce n’est pas facile dans le monde d’aujourd’hui.
    Où tant de gens sont méchants, envieux, Et je dirais même plus l’esprit tordu, croche. 
    Alors les amis(es) que j’ai me connaisse assez.
    Pour savoir que je ferais tout pour eux.
    Et que je ne voudrais jamais brisé la belle amitié. Que nous avons bâti au fils des années.
    Excusez ma franchise vous qui me lisez.
    Mais je suis une femme qui déteste l’hypocrisie.
    Pardonnez ma franchise mais je le devais à mes amis(es).
    Bien des personnes pense comme moi mais n’ose le dire et cela brise de très belles amitiés.
    Alors je souhaite de tout cœur que vous me comprenez  Vous tous cher amis(es) qui me lisez.
    Johanne
    
     
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    Sionie

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  • Ma princesse Shérazade 
     
     
    Image hébérgée par monsterup.com

    A la belle étoile,
    La nuit bleue nous dévoile
    la magie, les secrets,
    les pays enchantés.
     

    Au creux de ta main,
    La lumière du destin,
    Un diamant magique,
    Un génie fantastique
    !
     


     
    Oh ! Ma Shérazade,
    Princesse Shérazade,
    C’est pour moi que tu danses,
    Et me sourit la chance
     !

    Pour un Amour éternel !!! 
    pour  le vie
    
    Image hébérgée par monsterup.com
    Sionie

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    Une femme seule

     

      

      

     

    Je parle  avec mon  cœur
    je  parle avec mes yeux
    je parle d’un bonheur
    Et  j’y crois un peu

     

     

     

    Oeil, yeux, et regards à gogo !
     
     
     

    Je parle seul et je  m’admire
    je me déteste, je veux partir
    j’aime mes amis, j’aime la vie

    Je voudrais mourir pendant la nuit

     

     

     

     

     

     

    Je sais qu’il est trop tôt pour mourir
    Et je sais qu’il est trop tard pour survivre
    seule je  pleure, rit, chante et voudrait partir
    je  danse, sur une jambe, joue et vit mais je  ne peux plus  vivre

     

     

     

     

     

     

     

    Dans mon cœur tout est sombre
    Tout est noir, tout est éteint
    je  l’appelle mon ombre
    je ne souris qu’au petit matin.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je suis  triste et je m’ennuie

     De vivre, de jouer, de pleurer

    Je suis la femme  seul qui parle la nuit
    Mais pas la journée.

     

     

     

     

     

     

    Je voudrais essayer une autre vie

    Un autre monde et un autre chemin
    Le monde d’une femme seul qui sourit
    Le sourire d’une femme seu
    l qui va bien.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Cette femme, c’est moi, comme eux

    Qui sur cette terre se perd un peu
    Cette femme, c’est  moi comme toi
    Cette femme ce n’est autre que moi.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     
    Sionie
     

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    Je peins ton visage  

     

    Un crayon, une page blanche,
    je Ton visage peint
    Du bout des doigts
    je le connais par cœur

    Ton regard ensorcleur 


    Le verrais bouger tes yeux
    Le même Pourrais
    Sentir ton cœur battre
    Ne pas ROUGIE
    Tu c’est que j’en suis capable

    Les battements de ton cœur
    Pour un homme remplis de douceur 

    Portrais tonne Viola si beau est défini  

    Ton portrait terminé
    Je le poserais prêt de moi
    Oui tu vois juste, la à coté
    Et tous les soirs Je Pourrais Te Parler
    Te raconter mes journées
    Sécher tes larmes
    Et te regarder sourire
     Je peins ton visage
    Un colorie, une page blanche, ton image
    Je peins ton visage

    sur Sourire enjôleur  

    Un crayon, une page blanche

    Un crayon, une page blanche, ton image
    Je peins ton visage
    Du bout des doigts
    Je le connais par cœur

    Un homme aux joues finies  

     


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    Tornero (Je Reviendrai) 
    (Le Garçon)
    Je revois encore le trainS'éloigner
    Et toiQui essuies cette larme
    Je reviendrai
    Comment serait possible
    Une année sans toi. 
    Désormais tu écris "attends-moi"
    Le temps passera
    Une année ça n'est pas un siècle
    Je reviendrai
    Comme c'est difficile
    De rester sans toi Tu esTu es ma vie
    Que de nostalgieSans toi
    Je reviendrai
    Je reviendrai 
    (La Fille)Depuis que tu es parti
    A commencé pour moi
    La solitude (1)
    Autour de moiIl y a le souvenir des beaux jours,
    De notre amour
    La rose que tu m'as laissé
    S'est désormais déséchée 
    Et je la garde dans un livre
    Que je ne cesse de lire. (2) 
    (Le Garçon)
    Recommencer ensembles
    Je t'aime tellement
    Le temps passe,attends-moi
    Je reviendrai
    Pense toujours à moi

    Et le temps passera 
    Tu esTu es ma vieMon amour, mon amour
    Que de nostalgie
    Un an ce n'est pas un siècleSans toi
    Je reviendrai
    Je reviendrai (1) :
    en français, on aurait plutôt tendance à remettre le sujet en début de phrase 

     

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    Sionie


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    Ecoute Moi
      
      
      
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    Écoute ce que j’ ai à te dire 
    car ce que je vis me fait souffrir
    c’ est impossible de t’ oublier
    c’ est impossible de t’ en vouloir
    ça ne sert à rien de pleurer
    ça ne sert à rien de croire

     

     

    écoute mes confidences
    car je n’ ai pas eu beaucoup de chance
    il faut se mettre à l’ évidence
    a chaque fois que je pense à toi
    le monde s’ écroule devant moi
    on ne peut se mettre à ma place
    c’ est comme vivre dans un bloc de glace

     


    coute ce que te dicte mon coeur
    regarde dans mes yeux et tu verras la douleur
    ma souffrance se voit de loin
    et je ne cache pas mon chagrin
    je ne vis plus qu’ à moitié
    je n’ ai plus de coeur pour continuer
    car tu me l’ as terriblement arraché

     

     

    je pleure du matin au soir
    et je meurs de désespoir
     

     

     
    écoute pour la dernière fois
    car je ne le répéterai pas
    je ne renoncerai pas à t’ aimer
    je sais que ce n’ est pas une bonne idée
    En tout cas jusqu’au maintenant
    je vis toujours avec
    même si je me plains un peu souvent
    je ne pourrais pas vivre sans
    Même si je te le disais des centaines de fois
    ce ne serai jamais suffisant pour moi
    car la flamme qui brûle en profondeur
    est la lumière qui éclaire mon coeur
     

     

     

    mon âme ma vie toute entière
    un baiser tendrement
    je t’ aime
     
     
     
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    inconnu

     

    Sionie

     

     


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     bienvenue

     

     

     

    Les couleurs de L’automne 
    Colchique dans les près
     
     
    Colchiques dans les prés, fleurissent, fleurissrent
    Colchiques dans les prés, c'est la fin de l'été
    
    
    La feuille d'automne emportée par le vent
    En ronde monotone tombe en tourbillonnant
    
    
    Nuage dans le ciel, s'étire, s'étire
    Nuage dans le ciel, s'étire comme une aile
    
    
    La feuille d'automne emportée par le vent
    En ronde monotone tombe en tourbillonnant
    
    
    Châtaignes dans les bois, se fendent, se fendent
    Châtaignes dans les bois, se fendent sous nos pas
    
    
    La feuille d'automne emportée par le vent
    En ronde monotone tombe en tourbillonnant
    
    
    Et ce chant dans mon coeur, murmure, murmure
    Et ce chant dans mon coeur, murmure le bonheur
    
    
    La feuille d'automne emportée par le vent
    En ronde monotone tombe en tourbillonnant
    
    
    La feuille d'automne emportée par le vent
    En ronde monotone tombe en tourbillonnant
     
     
     
    Parole: F. Cockenpot- musique: Francis Cabrel
     
    Sionie
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    Sionie
     

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