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     Sous la voile gonflée des sens qui se réveillent,
    Le coeur accéléré se déverse en volcan,
    Fiers contours d’horizon d’une île au cent merveilles,
    O! Rythmes immémoriaux de refrains éloquents.
    Musique d’un poème sur un corps en jardin,
    Silence de ciel blanc aux couleurs éphémères,
    Et la danse soyeuse d’un souffle anodin,
    Sur épiderme en soie, au goût d’amande amère.
    Une aube de douceur sur des mots en naissance,
    Incantations a deux emportés hors du temps,
    Flammèches de désir jusqu’à l’incandescence,
    Sue le corps en labour, tout offert et mouvant.
    Un doux ruissellement de parfums en jonchée,
    Terre chaude en promesse au goût d’ivresse folle,
    Amour en filigrane par delà le péché,
    Sur un serment d’amour gravé comme un symbole.
     
     
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    Sionie

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    BERCEUSE
    Alors tu vois, comme tout se mêle
    Et du cœur à tes lèvres, je deviens ton casse-tête
    Ton rire me crie, de te lâcher
    Avant de perdre prise, et d'abandonner
    Car je ne t'en demanderai jamais autant
    Déjà que tu me traites, comme un grand enfant
    Et nous n'avons plus rien à risquer
    À part nos vies qu'on laisse de coté

    Et il m'aime encore, et moi je t'aime encore plus fort
    Mais il m'aime encore, et moi je t'aime encore plus fort

    C'en est assez de ces dédoublements
    C'est plus dur à faire, qu'autrement
    Car sans rire c'est plus facile de rêver
    À ce qu'on ne pourra jamais plus toucher
    et on se prend la main comme des enfants
    Le bonheur aux lèvres, un peu naïvement
    Et on marche ensemble d'un pas décidé
    Alors que nos têtes nous crient de tout arrêter

    Il m'aime encore,et moi je t'aime encore plus fort
    Mais il m'aime encore, et moi je t'aime un peu plus fort
    et malgré ça
    il m'aime encore,et moi je t'aime encore plus fort
    Mais il m'aime encore,et moi je t'aime encore plus fort
    (musique)

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    L'on m'a dit

     
    L'on m'a dit pas de sms
    L'on m'a dit ça me stress
    L'on m'a dit écris ton texte
    Ailleurs on m'a dit c'est bien le sms
    Ailleurs on m'a dit par un sms tu lui dis
    Que par cette déformation de texte
    Pour penser à elle tu trouves un prétexte
    Elle m'a dit j'aime pas les sms
    Elle m'a dit j'aime les longs textes
    Maintenant je n'envoie plus rien
    Maintenant de sa vie je suis loin
    Maintenant elle ne répond à rien
    Et au sms encore moins
    Comme cela le problème est résolu
    Des sms il n'y en a plus
     
    Et pourtant
    Je le promets ne ferai plus aucun sms
    Pour pas que cela la stress
    Si je la voyais plus souvent
    Mais ce n'est plus dans l'air du temps
     
     
    François Lagane  ©



    Sionie

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  • ANGE


    mon petit ange gardien
    toi qui veille sur la paix de mon âme
    efface mes soucis et mes ennuis
    de ma mémoire
    pour que l on puisse se retrouver la nuit
    Je suis gaie et pleines d’entrains
    mais le train de la vie augment se vacarme
    Les bruits dans mes nuit, sont noirs
    de peur de mélancolie et de désespoir
    Plus je tombe dans ce puits
    plus il fait noir
    cette maladie qui me ronge !
    Donne moi la main
    une source jaillie de mon cœur
    celle de la paix du bonheur
    Un arc en ciel de couleur
    explose en moi
    je lève les yeux
    Tout rayonnes. d’ une beauté lumineuse
    Je retrouve mon bonheur et la splendeur de la vie .
    Toi mon petit ange calme mon cœur donne lui la couleur
    pour avancer dans la vie
    ne plus regarder derrière moi
    toi mon soleil ;
    je t aime¨
     
     
    sionie
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    Quand l’aurore met fin à l’amplitude de la nuit
    Afin que le jour se dégage pour une autre vie

    Déduite de mon âge qui avance et qui me suit
    Un jour heureux et un autre triste qui m’ennuient
     
    Heureux quand le matin me fait sentir l’immense
    Parfum de la rosée qui arrose ma glèbe enivrée
    Le sentier de la perdrix où se picote les semences
    Au sillon craquelé qui attend par être désaltéré
     
    La voûte céleste étale ses nuages pleins de sève
    Quand sa tendresse s’annonce par la brise boréale
    Entraînant les flots aisés où se fécondent nos rêves
    Qui abreuvent mon sillon pour un temps abyssal.
     


     

    Sionie

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    Fée d’étoile

     
     
    Les yeux s’envolent au vent qui meurt,
    Les gouttes du ciel virevoltent,
    S’écrasent sans finesse sur le parvis.

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    La fée d’étoile, en un battement annonciateur,
    Oscille d’une poussière de songe, note
    Tapis de feuilles, la saison en son lit.

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    Suinte et exhorte, l’amour au devant
    De la scène, à se donner, à voyager,
    Telle colombe annonciatrice de La Paix
    .
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    De cœur en cœur, de mains au chant,
    La fée d’étoile poursuit sa quête,
    Murmure l’espoir, donne de sa baguette.

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    Comme une muse, ellvalse de maux
    En mots, d’âmes en oriflammes, de haut
    En bas, d’espoienfoi… elle s’embrase !
    Par une filauciel à la terre,
    Elle va donner conscience, faire Vibrer
    Les cristaux désireux de se trouver en chair.
    D’ailes, fait jaillir au jour bonheur d’air…
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    De leurs cages retenues, sortiront la beauté,
    Les voiles tomberont, viendra la félicité,
    Celle où il n’y a de violence, de guerre…


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    © Pascal Lamachère –
     
     
    Sionie 

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    LA  PETITE   DANSEUSE

     





     Sur une étoile filante,

             Une danseuse étoile un peu mélancolique

          Tourne et sautille à petits pas

           Dans une galaxie bien sympa.
    Tandis que l'étoile filante

    Se pose sur la terre

    Comme un avion de papier,

    La danseuse s'évanouit.

    Les étoiles qui scintillent
    Réveillent la danseuse assoupie.
    Elle se relève, et comme une toupie

    Glisse sur une toile encore vierge.

    A l'aide d'un pinceau d'aquarelle,

    Les étoiles caressent la petite danseuse.

    Elles félicitent ce petit rat de l'opéra

    Et l'habillent d'un tutu de lumière

    La petite étoile salue en une belle révérence

    Toute la galaxie qui l'a si bien accueillie.
    Peut-être que sans cette lumière

    Son ballet se serait mal fini !



    extrait de "Danse ta vie gai luron"
    poème paru dans LE JOURNAL A SAJAT
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    Sionie

     

     

     

     

     

     

     


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    La plage aux romantiques

    by Pascal Danel

    Il y avait sur une plage
    Une fille qui pleurait
    Je voyais sur son visage
    De grosses larmes qui coulaient
    Laissons la plage aux romantiques
    Ce soir j'ai envie de t'aimer
    Laissons la plage aux romantiques
    Je veux t'aimer à mon idée

    Cette plage au clair de lune
    Etait triste à pleurer
    Elle était si loin la dune
    Comme le temps a passé
    Laissons la plage aux romantiques
    Ce soir j'ai envie de t'aimer
    Laissons la plage aux romantiques
    Je veux t'aimer à mon idée

    Et mes mains sur son visage
    L'ont soudain consoler
    Il restait la belle image
    D'une fille qui riait
    Laissons la plage aux romantiques
    Ce soir j'ai envie de t'aimer
    Laissons la plage aux romantiques
    Allez viens, veux-tu m'épouser?
    Viens, viens, viens, viens, viens, viens...
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    Sionie




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    Regard d’été orageux


    En juillet, feu la fleur déchaîne ses é-crins.
    Un immense océan d’or s’arrime aux rivages !
    Le timbre de l’été est bleuté, sans nuage
    Il s’illumine, forge les manteaux d’airains
    En chaire de reflets. Quand arrive l’orage
    Tout l’emmagasiné s’annonce le burin.

     
    Je regarde le ciel, je rêve du rivage
    Frais de mes automnes. A leur lyre, les é-crins
    Sont reliés avec les sens à fleur d’airain !
    Sonnant, trébuchant sur le marbre, tels nuages
    Nourriciers et gelés que la main du burin
    Seule va pouvoir former, perpétuant l’orage.
     
    L’enchaînement violent concurrence l’airain !
    Le haut tapis de gris palpite des nuages.
    Au sol, le vent frise la sève de l’orage
    Sous une pluie de nuit qui se brise au burin.
    Au midi, un diamant à l’aveuglant rivage
    Est larme opaline de l’aube, par é-crins.
     
    Les hirondelles volent bas, laissent les nuages
    A d’autres amateurs d’aciers, migrants de l’airain.
    Le coeur amoureux sert du rêve comme burin
    Des frimas… Vif, éclairé, il oublie l’orage !
    Voyage sur sa barque et sort de son é-crin
    Les merveilles en vie afin d’adoucir le rivage.
     
    Je regarde l’instant affiner son burin :
    Papillons, roses, se font voir malgré l’orage,
    S’épanouissent en chantant pour eux. Leur rivage
    Continue d’embaumer l’air du divin é-crin,
    Le vent fait fi des murs, des êtres, les nuages
    Soulève en un ailleurs où frisera l’airain !
     
    Un dernier éclat coupe, soubresaut d’orage,
    Les cieux tout de jaune. A l’affût, le burin
    Va finir par s’assoupir au lac, dans l’é-crin
    Du miroir retournant, héliaque du rivage
    Etoilé… Les rumeurs éléates font l’airain
    Disparaître ! Le rêveur reprend ses nuages.

    D’été… é-crins sont d’or, gerbes de feu… rivages…
    Nuages grisâtres, aux beaux jours, sont d’airains…
    Les orages frappent, sculptent l’air au burin…
    PASCALE LAMACHERE


     
     
    Sionie

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       Poète-Musicien  
    Il chante le poète, il chante coeur fils avec, les
    Les mots sonnent et résonnent, font des accroches-coeur.
    Les notes s'entremêlent, les rondes de police des obligations
    Les noires, Dans l'espace des petits frissons en Ontario,
    Et TANDIS Québec croches les, s'accrochent AVEC ardeur,
    Les blanches Qui balancent, soupirent sans pudeur,
    Si parfois le ton monte, CE n'est qu'une ascension,
    Heureux crescendo Un, soulevant l'émotion.
    Toute une harmonie Et
    DANS S'étire l'espace
    Complainte à l'infini
    Témoin du Temps Qui Passe
    Le poète de composer, il session plaque des accords,
    DANS sa tête explose Et, refrains mille d'Abord,
    IUP note note l'après, il enchaine les airs,
    Il pose des soupirs, Tout empreint de mystère,
    Crée l'harmonie magique Qui va bouleverser,
    Faire chanter le monde, et le faire rêver.
    Poète Oh! lun. poète, je t'aime sans raison
    Tu chantes, tu Enchantés, les éveilles passion.
    Toute une harmonie Et
    DANS S'étire l'espace
    Complainte à l'infini
    Témoin du Temps Qui Passe
    Tu es ma tourmente danses, l'étoile de mes nuits
    Le soleil de mon coeur, Ciel mon, Mon paradis,
    Ta voix Chaude et prenante sur Heureux tempo CE
    Comme doucement M'énivre spiritueux de l'ONU.
    encor J'écoute, J'écoute, sans me lasser Jamais,
    Voyage sur Un rêve inachevé Qui Reste.
    Poète Oh! poète lun., éblouis moi Encore
    Je t'offre CES mots bleus, Comme une belle aurore.
    Toute une harmonie Et
    DANS S'étire l'espace
    Complainte à l'infini
    Témoin du Temps Qui Passe

     
     Sionie
     
     
     
      

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